Jusqu’à ce que je puisse boire cette goutte,
je devrai contempler les reflets sur la rivière.
Tandis que s’écoulent de mon corps émacié
des montagnes de sable.
Mes os, une forêt de bambous un soir d’orage.
Et si, vieux singe, tu viens souffler ma chandelle
je ne pourrai, las, te sourire une dernière fois.