qui disait à peu-près cela :
A falta de petróleo no hubo amigos en el mar
dejando las naciones tu barquito naufragar.
Nobel en la guerra,
nobel de la paz.
Ay Dalai Lama Dalai Lama Dalai
Ay Dalai Lama ay Dalai Dalai
Ay Dalai
Comprendra qui pourra.
A l’époque je buvais du thé de chine dans des combles grelotants en jurant mes Grands dieux que j’arrèterai demain...
...Nous sommes maintenant demain à quelques jours près.
Le gouverneur du peuple tibétain s’en vient par chez nous mais les gouverneurs du peuple suisse ne veulent pas lui parler. Moi pourtant je lui parlerai volontiers. Je suis sûr qu’il aurait beaucoup de choses intéressantes à me dire sur la nature humaine... Notre résistance à la paresse...
Bien que je boive toujours du thé chinois occasionellement, je préfère le Ceylan ou le Darjeeling. Moins lourds sans doute.
Tiens je suis tombé sur ça l’aut’ jour (de la politique sino-helvétique) :
« Nous avons si bien préparé le terrain pour un accord de libre-échange entre nos deux pays, nos collaborations ont été si fructueuses. Il serait vraiment dommage qu’une rencontre gouvernementale avec le Dalaï-Lama vienne compromettre tous les travaux déjà accomplis »